Produite sur une parcelle en pente de 9 hectares, cette cuvée du plus petit des crus du Beaujolais offre une palette aromatique à la fois florale et minérale, bien structurée par des tanins élégants et une finale salivante.
Filtres actifs
SINGLE MALT – 61 %, 70 CL
SINGLE CASK – BOURBON BARREL
CETTE VERSION QUI ARBORE UNE COULEUR OR PÂLE SOULIGNE L’ACCENT SUR UNE TOURBE SALINE ET MÉDICINALE.
LE PREMIER NEZ EST MÉDICINAL, TOURBÉ ET SALÉ. A L’AÉRATION, IL DEVIENT MÉDICINAL ET FRUITÉ (PÊCHE BLANCHE). PUIS DES FLEURS (LYS) ET DES PLANTES AROMATIQUES (MENTHE) NUANCENT DES PARFUMS D’ORGE MALTÉE FINEMENT TOURBÉE.
PRÉCISE, L’ATTAQUE EN BOUCHE EST FUMÉE ET CENDRÉE. EN MILIEU DE BOUCHE, DES ÉPICES (CARDAMOME), DES AGRUMES CONFITS ET DE LA NOIX DE COCO RAFRAÎCHISSENT LE PALAIS. CONCENTRÉE, L’ENTAME DE LA FINALE ÉVOQUE UNE ABSINTHE. VERDOYANTE, ELLE DEVIENT ÉGALEMENT DE PLUS EN PLUS LAITEUSE ET HUILEUSE (OLIVE VERTE).
DISTILLERIE SHINSHU, NICHÉE AU CENTRE DU JAPON.
CETTE EXPRESSION EST UN ASSEMBLAGE D’EX-FÛTS DE BOURBON MAJORITAIREMENT, AYANT REPOSÉS DANS LES CHAIS DE LA DISTILLERIE, À 800 MÈTRES D’ALTITUDE. UN SINGLE MALT AUX NOTES FRUITÉES
CE SINGLE CASK LÉGÈREMENT TOURBÉ (20PPM) A VIEILLI À KAGOSHIMA DANS LE SUD DU JAPON. LA PART DES ANGES EST DEUX FOIS PLUS IMPORTANTE (5 %)
LE PREMIER NEZ A DES ARÔMES DE FRUITS FRAIS (POMME), D’AGRUMES (CITRON), DE LAIT DE COCO ET DE VANILLE. A L’AÉRATION, UNE FUMÉE INTENSE ET UNE TOURBE SALINE ET RACINAIRE S’APPROPRIENT LE PALAIS. NOTES DE ROMARIN ET DE CERFEUIL. ÉLÉGANTE, D’EMBLÉE, LA TOURBE DONNE LE TON. ELLE EST FUMÉE, FLORALE (JACINTHE) ET ÉPICÉE (CUMIN). AMPLE, GOURMANDE,
LA FINALE NOUS INVITE À SAVOURER UN FLAN À LA PISTACHE. L’ARRIÈRE-BOUCHE EST ONCTUEUSE ET HUILEUSE (OLIVE VERTE).
Un Saint-Amour sur le fruit, vif et gourmand, charmeur comme la poétique appellation de ce village aux confins du Beaujolais.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.