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SINGLE MALT – 61 %, 70 CL
SINGLE CASK – BOURBON BARREL
CETTE VERSION QUI ARBORE UNE COULEUR OR PÂLE SOULIGNE L’ACCENT SUR UNE TOURBE SALINE ET MÉDICINALE.
LE PREMIER NEZ EST MÉDICINAL, TOURBÉ ET SALÉ. A L’AÉRATION, IL DEVIENT MÉDICINAL ET FRUITÉ (PÊCHE BLANCHE). PUIS DES FLEURS (LYS) ET DES PLANTES AROMATIQUES (MENTHE) NUANCENT DES PARFUMS D’ORGE MALTÉE FINEMENT TOURBÉE.
PRÉCISE, L’ATTAQUE EN BOUCHE EST FUMÉE ET CENDRÉE. EN MILIEU DE BOUCHE, DES ÉPICES (CARDAMOME), DES AGRUMES CONFITS ET DE LA NOIX DE COCO RAFRAÎCHISSENT LE PALAIS. CONCENTRÉE, L’ENTAME DE LA FINALE ÉVOQUE UNE ABSINTHE. VERDOYANTE, ELLE DEVIENT ÉGALEMENT DE PLUS EN PLUS LAITEUSE ET HUILEUSE (OLIVE VERTE).
Violacé, presque opaque avec un nez expressif de fruits noirs, poivre, cannelle, épices et violette. Un palais séduisant de fruits de la forêt, très ouvert et accueillant, un mélange de fruits, épices et des nuances minérales, tout en longueur.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Flying Solo, c’est de l’audace en bouteille. Tournant le dos aux cépages internationaux, elle fait la part belle au Grenache, cépage méditerranéen qui vient architecturer la gamme, assemblé à la Syrah, au Viognier ou au Cinsault. Intrépide, elle rend un hommage aux pionniers de l’aéropostale qui dans les années 20, bravaient tous les dangers pour assurer la livraison du courrier.
Flying Solo, c’est de l’audace en bouteille. Tournant le dos aux cépages internationaux, elle fait la part belle au Grenache, cépage méditerranéen qui vient architecturer la gamme, assemblé à la Syrah, au Viognier ou au Cinsault. Intrépide, elle rend un hommage aux pionniers de l’aéropostale qui dans les années 20, bravaient tous les dangers pour assurer la livraison du courrier.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Violacé, presque opaque avec un nez expressif de fruits noirs, poivre, cannelle, épices et violette. Un palais séduisant de fruits de la forêt, très ouvert et accueillant, un mélange de fruits, épices et des nuances minérales, tout en longueur.