Encore méconnu, le Beaujolais blanc peut étonner et épater vos amis. Ce Chardonnay est une rareté à découvrir. Tout en rondeur, riche et gras, il enveloppe délicatement les papilles. Il dégage une certaine complexité aromatique due aux 3 types de terroirs dont il est issu. Un Chardonnay facile à placer au niveau du service : apéritif, entrées, poissons, viandes blanches, sur des fromages de chèvre... Il peut aussi révéler quelques surprises en prenant 3 ou 4 années.
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On appelle le Moulin à Vent le roi du Beaujolais. C'est le cru qui a le plus long potentiel de garde et qui se rapproche le plus de ses voisins Bourguignons. Lorsqu'il prend quelques années, on dit parfois qu'il « pinote ». L'assemblage des trois parcelles de cette cuvée en font un vin complet et équilibré : Rochegrès apporte la finesse, Roche Noire la vivacité et le fruit, la Rochelle la puissance.
Au pied du Mont Brouilly s'étend le climat "Pierreux", composé d'éboulements granitique. Ici, le Gamay révèle toute sa structure, la noblesse de son acidité enrobée de fruits rouges.
Citadelle sa méthode d'infusion progressive est également inédite : elle consiste à adapter la durée de macération et le degré d'alcool à chacun des 19 aromates.
La recette offre une richesse aromatique complète. Le genièvre présente d’entrée de jeu la signature de Citadelle. Il laisse alors place à une fragrance voluptueuse d'agrumes qui vient le souligner. Enfin, le final se fait plus exotique, avec une belle longueur épicée que l’on doit à des touches de poivre, de muscade et de cannelle
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.