Produite sur une parcelle en pente de 9 hectares, cette cuvée du plus petit des crus du Beaujolais offre une palette aromatique à la fois florale et minérale, bien structurée par des tanins élégants et une finale salivante.
Réalisé en partenariat avec Marian Beke, propriétaire du Gibson's bar de Londres, ce gin présente une multitudes d'aromatiques, apportées par le poivre, le piment de jamaïque, en fenouil ou d'aneth entres autres. Il présente un goût complexe, du fait de l'ajout d'un Gin vieux de 8 ans dans la composition. C'est un Gin à Martini, ou les cocktails marinés.
Gin Belge assez gourmand. Ces arômes sont plutôt tournés vers les agrumes avec une belle palette d'épices comme la cardamome ou encore la coriandre.
London Gin d'exception, il dégaine une aromatique gourmande du fait de l'ajout notamment de Sureau et de thé de Ceylan. On retrouve un caractère florale et herbacé, avec des notes d’archangélique et de coriandre. Il sera excellent pour des Gin Tonics de haute volée.
Un Saint-Amour sur le fruit, vif et gourmand, charmeur comme la poétique appellation de ce village aux confins du Beaujolais.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.