Produite sur une parcelle en pente de 9 hectares, cette cuvée du plus petit des crus du Beaujolais offre une palette aromatique à la fois florale et minérale, bien structurée par des tanins élégants et une finale salivante.
Vin au croquant désaltérant. Finale de groseilles fraîches. Peut être légèrement aéré avant son service afin de maximiser son fruité (léger perlant).
Un Saint-Amour sur le fruit, vif et gourmand, charmeur comme la poétique appellation de ce village aux confins du Beaujolais.
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
Robe pâle aux reflets verts, le nez riche et complexe exprime les fleurs blanches , notes citronnées, très équilibrée
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.