Un Condrieu au fruit imposant (abricot), avec une belle fraîcheur et une intéressante complexité. Tous les ingrédients d’un grand vin blanc de la Vallée du Rhône nord ! Cette cuvée mythique du Domaine Ogier est issue de 2 parcelles de Viognier très réputées : La Combe et Veauvignière à Malleval.
Dans la lignée de ses grandes syrah sur Seyssuel ou Côte-Rôtie, Stéphane Ogier livre sur ce Saint-Joseph une superbe expression de fruits noirs aux épices charmeuses, délicatemment lardés. Le vin est soyeux, doté d'un jus velouté.
Sa couleur intense présage en bouche un fruité gourmand. Il est contrebalancé par un côté frais de petits fruits des bois. Ses tanins se développe bien en bouche et donnent un belle longueur à l'ouvrage.
Le Temps Est Venu va faire parler d'elle par sa finesse son fruité et floral Notes de cassis, cerise noire et violette, epices.
60% grenache, 40% Syrah et Mourvèdre
Stéphane Ogier a rapporté de ses expériences bourguignonnes la culture de la vinification parcellaire, et l'art de les assembler: cette cuvée "village" rassemble de jeunes syrah pour une Côte-Rôtie gourmande, en format Magnum pour les grandes occasion ou les bonnes compagnies!
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe a profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.
cette Syrah dévoile un nez fruité, sur des arômes de fruits frais, de cerise, des nuances florales, une pointe épicée.Des tanins fins et croquants.
Côte-rôtie du domaine Stéphane Ogier, symbole de la dernière génération de vignerons qui ont refait de de ces vignes abruptes une référence incontournable du vignoble français.
Une syrah gourmande et sur le fruit, relevée par des notes de poivre et de violette, à partager sans modération !
Une lettre du 7 juin 1289 émanant d'Édouard Ier, roi des Anglais et d'Aquitaine, fixe la limite entre Pomerol et Saint-Émilion au ruisseau du «Tailhayat»; celle-ci n'a pas bougé. Ici, le terroir mêle les sables et les graves, et le merlot domine à 80 %. Cela donne un bon pomerol de garde, dont l'austérité et l'élevage s'estompe au profit de subtiles notes de cerises et de clou de girofle.